Tout ce qu’est mal est aussi bon

Nous avons déjà passé plus que deux moins au confinement. Mais ce n’est pas toujours seulement mal. C’est vrai qu’on ne peut pas aller à l’école, on ne peut pas rencontrer nos amis et nos vies sont complètement différentes, mais il y a des choses positives du confinement aussi. On peut facilement dit que tout ce qui est mal est aussi bon.

Chaque jour, on fait des promenades dehors avec ma maman. On prend des bâtons pour le nordic walking et nous marchons dans Obora Hvězda, c’est un monument naturel tout près de notre maison. C’est un peu embarrassant, mais bien que nous habitons ici depuis douze ans, nous l'avons trouvé maintenant (nous avons vraiment inventé la poudre). Mais j’aime bien nos promenades. Nous faisons dix kilomètres au minimum chaque fois et en marchant, nous parlons. La nature et le bavardage fonctionnent comme une thérapie.


En plus, j’avais commencé à pratiquer une activité physique chaque journée (et ce n’est pas seulement pour des devoirs de madame Gnadová). Je pense vraiment que c’est important de rester en forme maintenant, autrement je mangerais tout le temps et je ferait rien. Alors on fait des promenades dehors ou je fais des exercices chez moi d’après des vidéos sur YouTube. Il faut dire que pendant le régime normal, je n’aurais pas de temps.

Et parce que je fais plus d’activités physique, je peut manger plus aussi, alors on cuisine avec ma maman. Pour moi, c’est quelque chose ce que je n’ai jamais vraiment fait (je ne compte pas quand j’avais „aidé” ma maman ou ma grand-mère). Maintenant, j’ai finalement du temps pour apprendre un nouveau savoir-faire. Par exemple, nous avons fait des vrilles à la cannelle, un tiramisu (ce n’est pas cuit, mais nous l'avons préparé aussi), des croissants au pavot, le cheesecake au citron vert et menthe (encore, ce n’est pas cuit). Des photos sont ci dessous. Profitez- en :)

Je réfléchis si c’est une bonne chose ou pas que les écoles soient fermées maintenant, avant le bac. J’ai plus de temps pour me préparer, par exemple, je peux vraiment lire tous les vingt livres pour mon bac tchèque, mais d’autre part, je sens que des études sont plus difficiles.

Karolína Hrabalová